mercredi 30 septembre 2015

La culture brésiliènne



Un peu sur la culture brésiliènne:


La culture brésilienne est plus que tout portugaise, à cause de la colonisation portugaise et à l’occupation de ce peuple pendant si longtemps au Brésil. C’est-à-dire que c’est ça qui donne l’unité a un pays si grand e diversifié comme le Brésil. La langue parlé est le portuguais “brésilien” et la religion majoritaire, le catholicisme.

Les deux plus connues fêtes du Brésil, le carnaval et la festa junina, ont été introduit par les portugais, de même que une grande partie du folklore brésilien et des chansons populaires. Quant à la nourriture, plusieurs de notre plats typiques sont adaptations des plats portugais, comme la feijoada et la cachaça. De plus, il ont été eux aussi qui ont introduit les mouvements artistiques europens, la literature et l’architecture pendant l’époque coloniale au Brésil.


À cause de l’extermination d’une grande partie des communautés indigènes pour les portugais, il rest peu des tribus et de la culture original, mais sa influence s’est fait très forte dans les habits brésiliens, surtout dans la région Nord du pays. Dans la langue, ils ont introduit mots comme capivara et ipê, du Tupi-Guarani; dans la nourriture ils ont introduit aliments comme la mandioca, l’açaí et la jabuticaba et dans le folklore, ils ont introduit le curupira, le saci-pererê et le boitatá.

Quant à l’Afrique, les esclaves ont apporté beaucoup de sa culture au Brésil, bien qu’ils ont été les objets d’une forte répression pour la catéchèse. S’influence a été plus forte dans la région nord-est du pays. Ses croyances religieuses ont donné l’origine aux religions afro-brésiliennes, comme le candomblé et l’umbanda. À la cuisine, les africains ont apporté le dendezeiro, duquel s’extrait l’huile de palme (dendê), souvent utilisé dans les plats typiques du nord-est, comme le vatapá et l’acarajé. De plus, les rythmes de la musique populaire brésilienne, comme le choro, le samba et la bossa nova ont été apporté de la culture africaine ainsi que la capoeira et le berimbau.

Pour finir, l’immigration européenne s’est fait afin de blanchir la population. Les migrants ont influencé les régions Sud et Sud-est du pays. Les italiens et les allemands sont venus en grande partie et ils ont apporté la pâte et la pizza. L’influence des allemands est visible dans l’architecture des quelques villes du Sud.

mardi 29 septembre 2015

Foire Hippie de Campinas

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Tentes d'artisanats - photo par Gabriel Borges
La Foire Hippie a lieu à la Place Fluminense dans le centre de Campinas. Il est un espace pour se promener, acheter et un point de diversement. Il s'agit de plusieurs types de manifestations culturelles. 

Nous pouvons trouver des tentes d'alimentes, des antiquités, des vêtements, des peintures, des chaussures, des artisanats et d'autres. Parfois, il y a présentations musicales et de théâtre dans le lieu.

Tente de peinture et présentation musicale - photo par Gabriel Borges

L'espace est destiné spécialement aux artisans pour commercialiser ses produits. Les expositeurs sont choisis par la préfecture de Campinas.

Dans ce même lieu, il y a le Centre de Convivência culturelle de Campinas où nous pouvons regarder des spectacles musicales, de danse, du théâtre et des expositions artistiques. Aujourd'hui le Centre est en reforme, mais la visite est compensée par le propre bâtiment qui est un ouvre d'architecture important à Campinas.

Photo du Centre de Convivência de Campinas par Gabriel Borges

Il y a aussi un restaurant syrien, appelé Castelo de Alepo, très bon dans la Rue Conceição, proche de la place! 

La foire se déroule samedis et dimanches, de 9 h. à 14 h.

Page sur Facebook: https://www.facebook.com/pages/Feira-de-Artesanato-do-Centro-de-Convivencia/186475194764869




Toursime - Campinas



Campinas:

 

L’histoire de Campinas a commencé au XVIIIème siècle et la ville a grandi à cause de la construction d’une maison de ravitaillement et de repos pour les voyageurs. Toutefois, après la crise du café, la ville s’est devenue technologique avec des usines et des centres technologiques sans parler d’une des principales universités publiques du pays. Donc Campinas est une ville où on peut visiter pas seulement les sites technoligiques et modernes, mais également les sites historiques et ruraux.

Les sites historiques:



La Cathédrale Métropolitaine Nossa Senhora da Conceição
 
Il s’agissait de la première église de Campinas, en marquant pas seulement le début de la vie religieuse des habitants de Campinas, mais aussi d’une communauté, que jusque là n’était qu’un lieu de passage pour les voyageurs. Une chapelle temporaire a été construit avant 1772, mais l’église même a été inaugurée en 1781.



La Tour du Château (Torre do Castelo)
 
C’est un château d’eau érigé entre 1936 e 1940 qui est situé dans l’un des plus hauts points du périmètre urbain de Campinas. Aujoud’hui, ça fonctionne comme une plataforme panoramique, un émetteur de la station de radio Educativa de Campinas et aussi comme un site historique de la ville, parce que à l’époque de sa construction, le monument répresentait une avance dans l’expansion de la région nord de Campinas.

lundi 28 septembre 2015

Emicida + Tulipa Ruiz - 03/10/2015 - Campinas

Le 03 Octobre, le rappeur Emicida et la chanteuse Tulipa Ruiz présentent à Campinas. 
La cérémonie d'ouverture sera avec le projet Discopédia, avec les DJs Dandan (Criolo), Marco (Céu) et Niack (Emicida).




Puis 10 ans de carrière, Emicida, l'un des plus grands noms du hip hop brésilienne présente le spectacle de son nouvel album, intitulé "Sobre Crianças, Quadris, Pesadelos e Lições de Casa". Tulipa Ruiz présente son album "Dance", un album pop fait pour danser.

Date: 03/10/2015 (samedi)

Heures d'ouverture: à partir de 22h

Lieu: Campinas Hall
Adresse: Rue Armando Strazzacappa, 130 - Jd. Santa Candida (Rod Dom Pedro I, 136 km) - Campinas / SP

Billets *:
(*) Valeurs sujettes à modification sans préavis. Pour le premier lot.

- Piste: R$ 40,00 (plein) R$ 20,00 (moitié prix);

- Ala VIP (Mezzanine): R$ 40,00

- Point de vente:
Genesis: Rue 13 de Maio, 139 - Centre-ville - (19) de 3231- 6741

- Internet:
http://www.oceaniatickets.com.br/

- Censure: 18 ans

dimanche 27 septembre 2015

Cinéma: Le dernier succès du Brésil à l’étranger

Le « coup de pied » de notre session sur le cinéma brésilien fut l'une des plus acclamées et primées productions cinématographiques brésiliennes dans les festivaux de Cannes, Sundance et Berlim qui ont eu lieu cette année. Mais, avant de vous expliquer de quel film il s'agit, il faut dire que oui, l'histoire général de la septième art au Brésil sera racontée, naturellement, au fil de nos rubriques. Cependant elle sera, quelques fois et dans ce cas là, mélangée dans les articles sur les nouvelles productions pour que vous pouvez être en contact avec différents moments pour lesquels a passé notre cine.
Reprenant, le film dont je vous parlerais aujourd’hui est « Une seconde mère » (du portugais Que horas ela volta?), qui a subi une importante discution sur les femmes dans la grand-écran, dès qu’il compte avec des protagonistes féminins, aussi bien qui est écrit et réalisé par Anna Muylaert, très conue actuellement dans la scène cinématographique brésilienne.
Le film décrit la vie de Val (Regina Casé), qui quitte sa ville au nord-est du pays pour chercher des meulleires conditions à São Paulo, en essayant d’offrir une vie différent à sa fille, Jéssica (Camila Márdila), mais l’incertitude et la crainte de l’inconnu font qu’elle laisse sa petite avec ses proches à Pernambuco. La protagoniste devient, donc, baby-sitter dans une riche demeure paulistana, où elle commence à habiter maintenant. Son union et sa complicité avec le fils de ses patrons, Fabinho (Michel Joelsas), emmène-lui à la considérer une séconde mère. Treze ans se sont passés, et c’est l’heure du vestibular pour Fabinho e Jéssica, l’examen qui donne accés au enseignement supérieur au Brésil. Elle entre en contact avec lui pour qu’il peut l’aider aller a São Paulo réaliser la preuve, et c’est ici qui l’histoire commence a se dévélopper. Plus que des affaires mère et fille, le film évoque questions sociaux cruciaux pour comprendre l’inegalité sociale dans notre pays, aussi bien que les transformations socioeconomiques et politiques qui ont permis quelques changements, même que dans un scenario général faible.
Le film a eu sa première le 27 aûot au Brésil, et vous pouvez le trouver en affiche encore dans plusieurs cinémas – cliquez ici pour découvrir où le regarder à Campinas. Voyez la bande-annonce sous-titrée en français ci-dessous:


Le gros succés de cette production a été déterminant pour que le Ministère de la Culture brésilien l’a choisi, parmi six autres titres, pour concurrencer l'Oscar de film en langue étrangère en 2016. Cette indication met, par la première fois en 30 ans, une femme en évidence au milieu cinematographique de notre pays. La dernière indiquée fut Suzana Amaral pour le film « L’heure de l’étoile », de 1986. En plus, le film a eu indiqué aussi au Goya, édition 2016, prix espagnol de cinéma. En autres, la consécration de Regina Casé et Camila Márdila avec le prix pour ses performances au Féstival du film de Sundance a déclanché la discussion sur les rôles féminins au cinéma, devant ou derrière les caméscopes.
           Le cinéma mondial a connu sa première réalisatrice à la fin du XIXème siècle, en 1896, quand Alice Guy a tourné le révolutionnaire « La fée aux choux », dont vous pouvez voir dans un clin d’oeil ici. Au Brésil, l’histoire des femmes réalisatrices commence 34 ans plus tard, avec Cléo de Verberena et le long « O mistério do dominó preto » de 1930. 
Cléo de Verberena, première réalisatrice brésilienne. Source: Banco de Conteúdos Culturais.
Après elle, d’autres femmes sont encoragées à accéder cette domaine, arrivant à Anna Muylaert, réalisatrice et scénarieste en question qui a commencé sa carrière aux années 1990. Pour meilleure connaître sa filmographie complète, cliquez ici! Vous pouvez aussi télécharger ce document avec plus d'informations et des interviews exclusives sur son dernière production, laquelle dont nous parlons! Le thème des femmes à la grand écran sera exploité dans d'autres rubriques aussi, quand on parlera plus en détails l'histoire de notre cine.

Sources: Mulheres do Cinema Brasileiro / Cinema Em Cena / Omelete / AlloCiné / Banco de Conteúdos Culturais

samedi 26 septembre 2015

Production Culturelle - La Bossa Nova



PRODUCTION CULTURELLE

La Bossa Nova


Le Brésil est un pays qui compte sur une vaste et très diversifiée production d’art en général, parce que notre pays a été formé et construit par plusieurs cultures. Les Portugais, les Africains, les Italiens, les Allemandes, ils sont tous venus ici pour vivre et ont apporté leurs coûtumes et expressions artistiques et culturelles. Donc notre culture est un mélange très original de différentes parties du monde. Pour cette raison, je dois choisir une forme spécifique de la production culturelle présente au Brésil pour vous parler. Aujourd’hui j’ai choisi la Bossa Nova.
La Bossa Nova est un genre de la musique populaire brésilienne développé dans les années 1950/60. Ce genre est un mélange entre la samba et le jazz qui est né à Rio de Janeiro dans les bistrots à côté de la plage (les « botequins ») et a été créé par les jeunes musiciens qui jouaient des guitares et chantaient dans leurs petits groupes d’amis.
Les thématiques du mouvement étaient dégagées de la politique et des problèmes sociaux. Les chansons s’inspiraient de la vie à la plage, de l’amour et de la jeunesse. Quelques exemples sont les chansons : Barquinho, de Roberto Menescal et Garota de Ipanema, de Tom Jobim et Vinícius de Moraes.



À la fin de la décennie, les thématiques ont changé un peu. Quelques artistes du mouvement ont décidé de s’éloigner du jazz qui n’était pas brésilien et de se rapprocher des musiciens de la samba dans les taudis. Voici quelques exemples des chansons de cette période: O morro não tem vez de Tom Jobim et Vinícius de Moraes et Samba do Carioca de Carlos Lyra et Vinícius de Moraes.



Les artistes qui ont plus représenté la Bossa Nova sont : Tom Jobim, Vinícius de Moraes, Carlos Lyra, Roberto Menescal, Nara Leão, Marcos Valle, João Gilberto, João Donato, Ronaldo Bôscoli, Toquinho, Marcos Valle, Danilo Caymmi, Johnny Alf et d’autres.


 





Un fait intéressant est qu’un précurseur de la Bossa Nova a été Henri Salvador, il est né en Guyane française. La chanson « Dans mon île » composé par Henri a inspiré Tom Jobim au début de la Bossa Nova. Le chanteur et compositeur guyanais a enregistré de nombreux disques avec Caetano Veloso et Gilberto Gil au Brésil, ces deux artistes sont très célèbres dans le pays et ils ont fait le nom de Henri connus ici. 
Regardez ces vidéos:
https://www.youtube.com/watch?v=3joACdwivEw (Eu sei que vou te amar – Henri Salvador, en français)
http://www.vagalume.com.br/henri-salvador/ (site avec plusieurs chansons d’Henri Salvador)
https://www.youtube.com/watch?v=0htJwmkLf2Y (O morro não tem vez – Elis Regina)
https://www.youtube.com/watch?v=11FjLEsEbFg (Samba do Carioca – Dori Caimme)
https://www.youtube.com/watch?v=c0BvQNF8pEw (O barquinho – Nara Leão)
https://www.youtube.com/watch?v=WhhseMCWvhc (Garota de Ipanema – Caetano Veloso)
https://www.youtube.com/watch?v=eeVuSLM4krQ (La fille d’Ipanema – Jacqueline François)