dimanche 27 septembre 2015

Cinéma: Le dernier succès du Brésil à l’étranger

Le « coup de pied » de notre session sur le cinéma brésilien fut l'une des plus acclamées et primées productions cinématographiques brésiliennes dans les festivaux de Cannes, Sundance et Berlim qui ont eu lieu cette année. Mais, avant de vous expliquer de quel film il s'agit, il faut dire que oui, l'histoire général de la septième art au Brésil sera racontée, naturellement, au fil de nos rubriques. Cependant elle sera, quelques fois et dans ce cas là, mélangée dans les articles sur les nouvelles productions pour que vous pouvez être en contact avec différents moments pour lesquels a passé notre cine.
Reprenant, le film dont je vous parlerais aujourd’hui est « Une seconde mère » (du portugais Que horas ela volta?), qui a subi une importante discution sur les femmes dans la grand-écran, dès qu’il compte avec des protagonistes féminins, aussi bien qui est écrit et réalisé par Anna Muylaert, très conue actuellement dans la scène cinématographique brésilienne.
Le film décrit la vie de Val (Regina Casé), qui quitte sa ville au nord-est du pays pour chercher des meulleires conditions à São Paulo, en essayant d’offrir une vie différent à sa fille, Jéssica (Camila Márdila), mais l’incertitude et la crainte de l’inconnu font qu’elle laisse sa petite avec ses proches à Pernambuco. La protagoniste devient, donc, baby-sitter dans une riche demeure paulistana, où elle commence à habiter maintenant. Son union et sa complicité avec le fils de ses patrons, Fabinho (Michel Joelsas), emmène-lui à la considérer une séconde mère. Treze ans se sont passés, et c’est l’heure du vestibular pour Fabinho e Jéssica, l’examen qui donne accés au enseignement supérieur au Brésil. Elle entre en contact avec lui pour qu’il peut l’aider aller a São Paulo réaliser la preuve, et c’est ici qui l’histoire commence a se dévélopper. Plus que des affaires mère et fille, le film évoque questions sociaux cruciaux pour comprendre l’inegalité sociale dans notre pays, aussi bien que les transformations socioeconomiques et politiques qui ont permis quelques changements, même que dans un scenario général faible.
Le film a eu sa première le 27 aûot au Brésil, et vous pouvez le trouver en affiche encore dans plusieurs cinémas – cliquez ici pour découvrir où le regarder à Campinas. Voyez la bande-annonce sous-titrée en français ci-dessous:


Le gros succés de cette production a été déterminant pour que le Ministère de la Culture brésilien l’a choisi, parmi six autres titres, pour concurrencer l'Oscar de film en langue étrangère en 2016. Cette indication met, par la première fois en 30 ans, une femme en évidence au milieu cinematographique de notre pays. La dernière indiquée fut Suzana Amaral pour le film « L’heure de l’étoile », de 1986. En plus, le film a eu indiqué aussi au Goya, édition 2016, prix espagnol de cinéma. En autres, la consécration de Regina Casé et Camila Márdila avec le prix pour ses performances au Féstival du film de Sundance a déclanché la discussion sur les rôles féminins au cinéma, devant ou derrière les caméscopes.
           Le cinéma mondial a connu sa première réalisatrice à la fin du XIXème siècle, en 1896, quand Alice Guy a tourné le révolutionnaire « La fée aux choux », dont vous pouvez voir dans un clin d’oeil ici. Au Brésil, l’histoire des femmes réalisatrices commence 34 ans plus tard, avec Cléo de Verberena et le long « O mistério do dominó preto » de 1930. 
Cléo de Verberena, première réalisatrice brésilienne. Source: Banco de Conteúdos Culturais.
Après elle, d’autres femmes sont encoragées à accéder cette domaine, arrivant à Anna Muylaert, réalisatrice et scénarieste en question qui a commencé sa carrière aux années 1990. Pour meilleure connaître sa filmographie complète, cliquez ici! Vous pouvez aussi télécharger ce document avec plus d'informations et des interviews exclusives sur son dernière production, laquelle dont nous parlons! Le thème des femmes à la grand écran sera exploité dans d'autres rubriques aussi, quand on parlera plus en détails l'histoire de notre cine.

Sources: Mulheres do Cinema Brasileiro / Cinema Em Cena / Omelete / AlloCiné / Banco de Conteúdos Culturais

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