Un Lâche

Dans le nouvelle “Un Lâche”, du Guy de Maupassant, le “beau Signoles” est le personnage principal, il etait un vicomte appelé Gontran-Joseph de Signoles, élegant, riche, bon avec les mots et très fier!

Un jour, il est pris sas amies avec son respectives maris au theatre et aprés ils toutes sont allés a-t-un Café pour pendre une glâce, invités pour beau Signoles.

Lá, un homme de la table voisine regardait trés dédie à-t-une de s’amie tout le temp, de manière que il la gâté sa glâce.

Le beau Signoles a eté ofensé par s’amie et parce que il etait lui que l’invité au Café, alors il est allé reprimander le monsieur e l’homme a repondu avec un mot ordurier. Toutes en le place ont été étonnés et Signoles ne pouvait pas avoir autre réaction qui non guifler son adversaire. Les deux, alors, ont echangés des cartes, ce qui signifie un défi pour un duel pour le lendemain!

Chez lui, Signoles  ne pouvait pas arrêter de penser à qui se était passé ou le duel. Il etait de plus en plus nervous e agité. Il a cherché dormir, mais ne peurrait pas. Il pensait que son adversaire irait abandoné le duel s’il choisait les règles plus dangereuse, avec les pistolets. Mais avec les pistolets, le risque de mourrir etait plus grand et honneur serait commis s’il perdait la dispute.

Le jour suivant, les témoins sont venu chez lui à frapper tout, le duel a été accepté.

Quand les témoins sont partis, Signoles essaie d’écrire son testament, mais aprés les mots “Ceci est mon testament” il a commencé a devenir nerveux une fois plus et les doutes et les peurs reviennent.

Il a pris la pistolet, mais sa main tremblait trop, “Je ne peux pas battre ainsi!”, pensait. Alors, il a regardé le pistolet e pensé une manière de ne perdre pas le duel, que etait le suicide.

Cent meilleurs films de l'histoire du cinéma brésilien

Affiche d'oeuvre "Limite", cosiderée la meilleure
production cinématographique de l'histoire du
cinéma brésilien.

L'Abraccine – Association Brésilienne de Critiques de Cinéma –  a divulgué vendredi (le 28 novembre) la liste des 100 meilleures films de l'histoire du cinéma brésilien. 

"Limite", réalisé par Mário Peixoto et sorti en 1931, est consideré la meilleure production cinématographique du pays, dont l'affiche vous pouvez voir à droite. Le deuxième place est occupé par une production dont nous avons vous parlé dans notre dernier post à propos du Cinema Novo. Il s'agit du acclamé "Deus e o Diabo na Terra do Sol" (1964), de Glauber Rocha. Ce réalisateur en particulier est lequel qui rassamble le plus grand nombre de citations dans la liste, avec "Terra em Transe" (1967) et aussi "O Dragão da Maldade Contra o Santo Guerreiro" (1967).

"Vidas Secas" (1963) de Nelson Pereira dos Santos et le documentaire "Cabra Marcado Pra Morrer" (1984) réalisé par Eduardo Coutinho sont aussi à la tête de la liste. Les 100 productions choisies l'ont été fait parmi 379 oeuvres. Cette ranking sera aussi publié en livre par le maison d'édition "Livramento" l'année prochaine, en regroupant toutes les informations sur les oeuvres.

Vous pouvez lire la liste complète en appuyant ici!

Le "Cinema Novo" brésilien

On est de retour pour vous parler um petit peu sur l'une des les plus importantes axes du cinéma brésilien, ce que l'on connaît comme le "Cinema Novo" (du français "Cinéma Nouveau"). Cette courant de productions cinématographiques a apparu presque dans le même contexte historique que la Nouvelle Vague du cinéma français, cela veut dire à la fin des années 1950. Mais, en  général, elles ont suivi différents chémins en ce qui concerne à la thématique des productions et la signification-même du mouvement.

Les arts brésiliennes, en général, passaient par un période économique difficile, surtout en fonction des dépenses gouvernamentales avec d'autres affaires nacionaux, comme l'industrialisation que se déroulait en ce moment-là, qui a causé une manque de resources dirigés vers cette ensemble d'activités. Le cinéma a subi avec le coupe, mais l'inventivité a parlé plus fort et, en utilisant le motto "une caméra dans les mains, une idée dans la tête", on a la création du Cinema Novo brésilien.

Nelson Pereira dos Santos est le réalisateur qu'inicie vraiment l'affichage de films de cette "nouvelle vague" de notre cinéma avec la production "Rio 40 Graus" (1955), dont l'affiche vous pouvez voir ci-dessus. La thématique central du premier moment du Cinena Novo était le sous-dévéloppement et il était caracterisé par les décos simples et les longues dialogues entre les personnages.

Affiche de la production considerée le "coup de pied" du Cinema Novo brésilien.

Noms comme Glauber Rocha, Cacá Diegues, Ruy Guerra, Luiz Carlos Barreto se trouvent parmi les plus importants. Le premier surtout est jusq'aujourd'hui acclamé par le public passioné par le cinéma brésilien. Son oeuvre plus réprésentative de cette époce a été le célébre "Deus e o Diabo na Terra do Sol", de 1964.

A partir du milieu des anées 1960 on a l'instalation d'um système dictatorial par les militaires, ce qui a durée jusque le début des années 1980. Malgré les restrictions promues par la censure à les productions culturels, le Cinema Novo a resisté, em explorant la critique au contexte politique du pays dans ses oeuvres. "Terra em Transe" (1967), "O Desafio" (1965) et "O Bravo Guerreiro" (1968) sont les films qui ont marqué le deuxième période du Cinema Novo.

"Terra em Transe" est une oeuvre de Glauber Rocha, réprésentative de le deuxième période du notre Cinema Novo.

E troisième et dernier période du Cinema Novo brésilien est caracterisé par un moindre volume de productions, ce qui découle du éxil forcé de beaucoup de réalisatéurs du moment précedent. L'oeuvre la plus fondamental est le film "Macunaíma", réalisé par Joaquim Pedro de Andrade et sorti em 1969. Et oui, il raconte l'histoire du même Macuaíma qui vous devez connaître de notre litterature, crée par l'auteur Mário de Andrade.

Le Cinema Novo a subi um affaiblissement dans les prochaines années, mais on a la naissance d'um nouveau mouvement inspiré dans ses idées contestataires et propositions: le Cinema Marginal, qui a dominé les grands-écrans brésiliennes a partir de 1970.

Une Histoire Sur La Vie

Notre vie est fragile, nous avons toujours su cela. Et malgré ça, nous la traversons sans vraiment apprécier des moments et des gens importants.

Daytripper est un roman graphique de jumeaux brésiliens Gabriel Bá et Fabio Moon qui nous fait réfléchir sur ces moments qui nous manquent et la fragilité de la vie.

Les auteurs

A travers l'histoire du personnage principal Brás de Oliveira Domingos, écrivain de notices nécrologiques pour le journal local à Rio de Janeiro, les auteurs mêlent le lecteur dans un mélange d'espoir et de déception qui nous rapproche de chaque chapitre, comme vous le savez et Brás Nous nous identifions à lui.

Dans le livre, Brás est soumis à leurs différentes destinations prévues par le récit, chacun l'apporte une fin, et chaque finale détermine une notice nécrologique différente pour le personnage: ce qu'il a fait, qui connaissait, tout déterminé par sa durée de vie que si était un autre, serait également d'autres choses pertinentes.

Brás c'est moi, vous et nous tous que même immergés dans les questions existentielles profondes, ont toute la vie devant eux, jusqu'à ce qu'un jour, sans avertissement, ne ont avez pas.

Bá et de la Moon peuvent donc donner la beauté à la vie, mais grâce à sa plus grande faiblesse: la mort.

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Resto Aulus

Il y a dans l’avenue Deux (Professor Atílio Martins) un resto très sympa que s’appele Aulus.  En plus de la bouffe fantastique, l’ambiance c’est super ! Dans la thématique Vidéo Bar, ce resto est décoré avec millions de plaques et affiches américains des années 50, 60 et 70. Il y a aussi des autoramas et modèles comme le « Bondinho do Pão de Açucar ».

Le resto est ouvert tous les jours pour le déjeuner et le dîner et je pense que ça va vérifier !

Adresse Aulus : Av. Professor Atílio Martini, 939 - Cidade Universitária, Campinas - SP, 13083-830

Où Faire des Cours Près de l’Unicamp

Si vous habitez à Barão Geraldo e ne savez pas où faire ses cours, ce guide va vous aider !

La première choix des éstudient bresilien ce le supermarché Dalbem, que se trouve dans l’entrée de Barão Geraldo (marqueur 1 dans la carte). Des prix ne sont pas très bons, mais c’est près de la majorité de tous les residences des étudients.

Il y a aussi le supermarché Pão de Açúcar (marqueur 2 dans la carte), que se trouve a coté de le McDonald’s. Les prix sont encore plus chère que Dalbem, mais, si vous être français e manquez les saveurs de la France, au Pão de Açucar, vous pouvez acheter des produits Casino français.

Une dernière opition pour vous sont les supermarches Atacadão et Makro. Ils se trouvent plus beaucoup plus loin de Barão Geraldo, et pour y aller vous devez prener une voiture. Cependant, les prix sont les moins chère que vous pouvez trouvez à Campinas, et peut peut-être avantageux.

Adresse Atacadão : KM 139 - Marginal Rodovia Dom Pedro I, 900, Campinas - SP, 13080-395

Le Train Maria Fumaça

        Le train Maria Fumaça est une bonne choix non seulement pour les personnes que aiment voir nouveaux paysages, mais aussi pour lesquels qui veulent aprendre un peu de histoirie. Ce train s’agit d’une locomotive à vapeur du début du XIXe siècle qui part de Campinas et vais jusqu’à à Jaguariúna, où vous pouvez trouver le Centre Cultuelle de Jaguariúna. Le nom de cette train, Maria Fumaça, est un surnom affectueux donné à la locomotive par les Portugais.

          Le Association Brésilienne de Conservation Ferroviaire (Associação Brasileira de Preservação Ferroviária, ABPF) est le responsáble pour promover le tour, qui a commencé un 1984. À une distance d'environ de 24 kilomètres, le train part de la station Anhumas, où Campinas, et a comme destination final la station de Jaguariúna. Le voyage est trois heures et demie, l’aller et la retour. Mais il est possible aussi faire seulement le demie du chemin, jusqu’à la station Tanquinho, et le temps pour cette voyage est une heure et trinte, l’alleur et le retour.

 

          Lorsque le train quitte la gare, il passe pour plusieurs beaux paysages dans la region et aussi pour les antiques fermes de café. C’est porquoi qui il y a un moniteur qualifié dans chaque voiture du train, parce que ils décrivent tout les paysages, racontent l'histoire de l'endroit, parlent des fermes et de leurs propriétaires, racontent le histoire du train, la routine des travailleurs dans les plantations de café et de la société de l'époque, etc. Donc, les voyageurs peuvent connaître beaucoup de histoire et des aspects cultures de la region. Personnes de tout le pays et aussi de diverses parties du monde ont dèjá visité cette region pour connaître un authentique chemin de fer de le dix-neuvième siècle. Dans cette lieu, quelque publicités ont dèjá été enregistrés, des feuilletons et même des films. Avec cette incroyable experience, vous pouvez non seulemnet avoir du plaisir, mais aussi découvrir un peu de notre histoire. Vous devriez faire cette voyage et être enchanté par ces sites historiques!

            L’ancienne station de la CIA Mogiana a été ouvert en 1945 et hors depuis les années 70. Ce monument de chemin de fer a été restauré par la préfecture et a été transformé en un centre culturel. Dans les années 90, la fonction de station d'embarquement et de débarquement des passagers promenade touristique a été reprisé, avec la machine à vapeur (Maria Fumaça) et le itinéraire de Campinas à Jaguariúna.

Adapté pour le tourisme récepteur, ce site abrite un Centre d'Information Touristique, le Botequim de la Gare et le Chopperia de la Gare, le Musée Ferroviaire, la Radio Star et des espaces pour des expositions. Mais le princiapal, sûrement, est le train Maria Fumaça!

            Pour finir le voyage, vous serez invité à connaître le fonctionnement du train à vapeur: il y a des moniteurs qui feront l'explication de comment Maria Fumaça fonctionne, vous verrez le feu de bois, vous comprendrez les moviements de cette machine, le mouvement de braçagens, l'importance de la sable dans les chemins de fer et saurez sa cloche et le sifflet en fonctionnement.

 Qu'attendez-vous pour faire ce voyage? Venez bientôt!

  

Trains de Campinas au Jaguariúna

– Les samedis

10:10 h – Destination: Jaguariúna – Chemin complet

Durée de la visite – 03:30 h. (Aller-retour)

15:00 h – Destination: Tanquinho – À mi-parcours

Durée de la visite – 1:30 h. (Aller-retour) 

        

– Dimanche

10:10 h – Destination: Jaguariúna  – Chemin complet

Durée de la visite – 03:30 h. (Aller-retour)

14:30 h – Destination: Jaguariúna – Chemin complet

Durée de la visite – 03:30 h. (Aller-retour)

16:30 h – Destination: Tanquinho – À mi-parcours

Durée de la visite – 1:30 h. (Aller-retour)

BILLET -  CHEMIN COMPLET

R$ 90,00 – Intégral

R$45,00 – Demi

Campinas- Jaguariúna (Vice Versa) – Trajet aller et retour

– 3,5 heures

– 48 km de trajet

BILLET - DEMI DU CHEMIN

R$70,00 – Intégral

R$35,00 – Demi

Campinas/Jaguariúna – Tanquinho (Vice-Versa) – Trajet aller et retour

– 1,5 heure

– 24 km de trajet

Sources: Prefeitura de Jaguariúna,  ABPF Regional Campinas, Campinas Virtual