lundi 30 novembre 2015

Le "Cinema Novo" brésilien

On est de retour pour vous parler um petit peu sur l'une des les plus importantes axes du cinéma brésilien, ce que l'on connaît comme le "Cinema Novo" (du français "Cinéma Nouveau"). Cette courant de productions cinématographiques a apparu presque dans le même contexte historique que la Nouvelle Vague du cinéma français, cela veut dire à la fin des années 1950. Mais, en  général, elles ont suivi différents chémins en ce qui concerne à la thématique des productions et la signification-même du mouvement.

Les arts brésiliennes, en général, passaient par un période économique difficile, surtout en fonction des dépenses gouvernamentales avec d'autres affaires nacionaux, comme l'industrialisation que se déroulait en ce moment-là, qui a causé une manque de resources dirigés vers cette ensemble d'activités. Le cinéma a subi avec le coupe, mais l'inventivité a parlé plus fort et, en utilisant le motto "une caméra dans les mains, une idée dans la tête", on a la création du Cinema Novo brésilien.

Nelson Pereira dos Santos est le réalisateur qu'inicie vraiment l'affichage de films de cette "nouvelle vague" de notre cinéma avec la production "Rio 40 Graus" (1955), dont l'affiche vous pouvez voir ci-dessus. La thématique central du premier moment du Cinena Novo était le sous-dévéloppement et il était caracterisé par les décos simples et les longues dialogues entre les personnages.
Affiche de la production considerée le "coup de pied" du Cinema Novo brésilien.
Noms comme Glauber Rocha, Cacá Diegues, Ruy Guerra, Luiz Carlos Barreto se trouvent parmi les plus importants. Le premier surtout est jusq'aujourd'hui acclamé par le public passioné par le cinéma brésilien. Son oeuvre plus réprésentative de cette époce a été le célébre "Deus e o Diabo na Terra do Sol", de 1964.

A partir du milieu des anées 1960 on a l'instalation d'um système dictatorial par les militaires, ce qui a durée jusque le début des années 1980. Malgré les restrictions promues par la censure à les productions culturels, le Cinema Novo a resisté, em explorant la critique au contexte politique du pays dans ses oeuvres. "Terra em Transe" (1967), "O Desafio" (1965) et "O Bravo Guerreiro" (1968) sont les films qui ont marqué le deuxième période du Cinema Novo.

"Terra em Transe" est une oeuvre de Glauber Rocha, réprésentative de le deuxième période du notre Cinema Novo.
E troisième et dernier période du Cinema Novo brésilien est caracterisé par un moindre volume de productions, ce qui découle du éxil forcé de beaucoup de réalisatéurs du moment précedent. L'oeuvre la plus fondamental est le film "Macunaíma", réalisé par Joaquim Pedro de Andrade et sorti em 1969. Et oui, il raconte l'histoire du même Macuaíma qui vous devez connaître de notre litterature, crée par l'auteur Mário de Andrade.

Le Cinema Novo a subi um affaiblissement dans les prochaines années, mais on a la naissance d'um nouveau mouvement inspiré dans ses idées contestataires et propositions: le Cinema Marginal, qui a dominé les grands-écrans brésiliennes a partir de 1970.

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