On est de retour
pour vous parler um petit peu sur l'une des les plus importantes axes du cinéma
brésilien, ce que l'on connaît comme le "Cinema Novo" (du français
"Cinéma Nouveau"). Cette courant de productions cinématographiques a
apparu presque dans le même contexte historique que la Nouvelle Vague du cinéma
français, cela veut dire à la fin des années 1950. Mais, en général, elles ont suivi différents chémins
en ce qui concerne à la thématique des productions et la signification-même du
mouvement.
Les arts
brésiliennes, en général, passaient par un période économique difficile,
surtout en fonction des dépenses gouvernamentales avec d'autres affaires
nacionaux, comme l'industrialisation que se déroulait en ce moment-là, qui a
causé une manque de resources dirigés vers cette ensemble d'activités. Le
cinéma a subi avec le coupe, mais l'inventivité a parlé plus fort et, en
utilisant le motto "une caméra dans les mains, une idée dans la
tête", on a la création du Cinema Novo brésilien.
Nelson Pereira dos
Santos est le réalisateur qu'inicie vraiment l'affichage de films de cette
"nouvelle vague" de notre cinéma avec la production "Rio 40
Graus" (1955), dont l'affiche vous pouvez voir ci-dessus. La thématique
central du premier moment du Cinena Novo était le sous-dévéloppement et il
était caracterisé par les décos simples et les longues dialogues entre les
personnages.
Affiche de la production considerée le "coup de pied" du Cinema Novo brésilien. |
Noms comme Glauber
Rocha, Cacá Diegues, Ruy Guerra, Luiz Carlos Barreto se trouvent parmi les plus
importants. Le premier surtout est jusq'aujourd'hui acclamé par le public
passioné par le cinéma brésilien. Son oeuvre plus réprésentative de cette époce
a été le célébre "Deus e o Diabo na Terra do Sol", de 1964.
A partir du milieu
des anées 1960 on a l'instalation d'um système dictatorial par les militaires,
ce qui a durée jusque le début des années 1980. Malgré les restrictions promues
par la censure à les productions culturels, le Cinema Novo a resisté, em explorant
la critique au contexte politique du pays dans ses oeuvres. "Terra em
Transe" (1967), "O Desafio" (1965) et "O Bravo
Guerreiro" (1968) sont les films qui ont marqué le deuxième période du
Cinema Novo.
"Terra em Transe" est une oeuvre de Glauber Rocha, réprésentative de le deuxième période du notre Cinema Novo. |
E troisième et
dernier période du Cinema Novo brésilien est caracterisé par un moindre volume
de productions, ce qui découle du éxil forcé de beaucoup de réalisatéurs du
moment précedent. L'oeuvre la plus fondamental est le film
"Macunaíma", réalisé par Joaquim Pedro de Andrade et sorti em 1969.
Et oui, il raconte l'histoire du même Macuaíma qui vous devez connaître de
notre litterature, crée par l'auteur Mário de Andrade.
Le Cinema Novo a
subi um affaiblissement dans les prochaines années, mais on a la naissance d'um
nouveau mouvement inspiré dans ses idées contestataires et propositions: le
Cinema Marginal, qui a dominé les grands-écrans brésiliennes a partir de 1970.
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