Cette histoire s’agit d’un discours prononcé par l’auteur à l’Académie des
Sciences, Belles-lettres et Arts d’Amiens en 1875, dans lequel Verne raconte «une aventure» de l’avenir: une voyage
à Amiens en l’an 2000.
Un jour, il dort beaucoup dans son fauteuil et quand il se lève, il est un
peu perdu. Il pense que il a dormi, au moins, quinze heures et que c’était
mercredi. Mais, en fait, c’était dimanche. Il sort et commence a marcher dans
la rue, mais il remarque qu’il y a beaucoup de choses différentes: les lieux,
le destination de l’omnibus, le nombre de personnes dans la rue, les
boulevards, etc. Il décrit toutes les nouvelles choses qu’il voit parce qu’il
est etonné avec les différences.
À ce moment, il oit une musique très differenet et questionne s’il était en
dehors du présent: il aperçoit qu’elle n’est pas une musique actuelle. Il lit
le titre du morceau: “No 1: Rêverie en la mineur sur le Carré de l’hypoténuse!”
Il commence a penser qu’il était fou. Il passe pour la Place Longueville où il
voit une náiade dans l’eau. Cette eau est sucrée! Il continue sa promenade. Dans
la rue des Rabuissons il voit un bâtiment avec une salle de concert. Et il y a
un annonce: PIANOWSKI PIANISTE DE L’EMPEREUR DES ÎLES SANDWICH. Il demande à un
passant quand Pianowski va venir pour le concert. Mais le passant lui répond
qui Pianowski ne va pas venir, parce qu’il s’agit un concert électrique. Cela
signifie qu’il joue à Paris, mais son instrument est mis en comunication avec
les pianos d’autres villes.
Il commence à s’interroger s’il
était à Amiens. Il passe
pour la Bibliothèque, pour le Musée, pour l’Hôtel du Conseil Général, de la
Préfecture... tout c’est le même. Mais les maisons sont différentes. Dans la Place
Périogord, il voit le conduit d’eau. Il
était à Amiens sans doute! Il continue sa promenade. Passe pour un théâtre,
pour un magasin, la Place Montplaisir, le Palais de Justice, la Place
Saint-Michel... Quand une main se pose sur son épaule. C’est un homme qu’il ne
connaît pas, mais qui dit être son docteur. Il lui dit que son docteur est dr.
Lenoel. Mais le docteur lui répond que la médicine a progressé beaucoup depuis
dr. Lenoel avec l’adoption de les constumes chinoises.
Le docteur sent son pouls, mesure sa température, et il est un peu fébrile.
Ils bavardent. Il demande au docteur dans quelle année sont-ils. Mais au moment
où le docteur allait lui répondre, une troupe de badaus commence a crier. Ils
crient a un homme de soixant ans. Il met le docteur en question et découvre qu’il
y a un impôt pour les célibataires e que celui-là était le dernier de la ville.
Il lui demande une deuxième fois dans quelle année sont-ils. Mais une
voiture de tramway interrompt la reponse de le docteur. Ils prennent, donc, le
tramway, et notre personnage se montre rendu à cette situation, mais il essaye
encore une fois de savior l’année.
Dans le dialogue, le docteur lui parle des changements aux ensignement dans
les lycées, et le percours de leur petit voyage lui a fait percevoir quelques
arbres qu’il a vu planter, mais que maintenant semblent deux fois centenaires. Cela a été une piste presque definitive du
période temporel que notre protagoniste a «sauté» pendant sa longue nuit de
sommeil. Le paysage urbain et le mouvement de la foule sont toujours rémarqués.
Le concours dont il a soupçonné? C’était vrai, il a été réalisé dans la Hotoie. Il
décrit tous ce qu’il vois dans cet endroit nouveau pour lui, mais son moment
contemplatif a été arreté par le docteur, qui lui a rappelé du discours de M. le
Délégué.
Le chemin jusqu’au point où allais eu lieu le discours a été quand même une
découverte enivrant par notre protagoniste. Il a vu des machines incroyables,
comme celle qui tranforme un porc vivant en deux types differents de jambon, ou
un lapin en chapeau! Et ainsi pour suite, jusqu’ils arrivaient au lieu des
concours (un peu sérieux) et du discours de M. Le Délégué du Ministre, qui
allais faire la cloture de l’événement.
Son étonnement cède lieu à l’ennui. Toute était changé, sauf le discours du
Délégué! À cause de cela, il, notre protagoniste, a fait un brusque mouvement
et il a eu la sensation de ouvrir les paupières dans l’obscurité. Allors, il se
bouge dans sa chaise, renverse la table e la lampe sans le vouloir... et se
réveille au milieu de la nuit! Leur angoisse et incertitude finissent enfin.
«Tout celà n’était qu’un rêve!» Ce qu’il appelle promenade idéale s’est passé bien sur à
Amiens, mais en l’an 2000!
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